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Femme-Sorcière - Un article pour la femme tout autant pour l’homme.


En ce mois de mars, qui abrite la journée de la Femme et de la Grand-mère. J’ai eu envie de vous inviter à célébrer la Femme-Sorcière. Et cela loin de tout mouvement particulier. Juste honorer la Femme-Sorcière qui vit en chacune de nous. Histoire de réveiller celles qui sommeillent encore.




La Femme-Sorcière ou la Sorcière tout simplement, est une femme qui a conscience du pouvoir de la nature et de l’univers, et surtout de faire partie de cette nature, d’être elle-même un univers à elle seule. Elle a donc conscience de son propre pouvoir. Et entreprend de découvrir toutes les facettes de celui-ci.


La Femme-Sorcière sait, dorénavant et de plus en plus, qu’elle est libre et indépendante de tout. Il lui suffit donc de faire le choix d’en user, avec sagesse. Peu à peu elle œuvre avec l’énergie. Elle met l’énergie, la sienne et celles disponibles, en mouvement pour l’amélioration de sa vie et celle des autres. Elle apprend à percevoir les messages de la nature, de l’univers de tout ce qui l’entoure.


La Femme-Sorcière appréhende le monde autrement. Elle veut explorer son monde, son univers… sa nature, que de plus en plus elle découvre divine. Sa quête l’emporte indubitablement sur les sentiers de nos ancêtres et de leurs pratiques, jadis considérées comme empiriques. Et que la science réinvente de nos jours à coup de « quantique », de « champ », « d’intrication »… Ils savaient que tout était énergie et que la guérison de nos différents aspects, que la transformation passaient par la mise en mouvement de celle-ci.


La Femme-Sorcière se sait belle, d’une beauté que seuls ceux qui la voient avec le cœur sauraient déceler sans même la regarder.




Elle accueille et découvre son féminin, ce qu’on appelle aujourd’hui le féminin sacré. Elle renoue avec lui, elle apprend à lui faire confiance à nouveau et à le laisser librement prendre place. Loin d’une « Ève » coupable et devant porter le poids du Monde, sans se plaindre. Complètement libre et indépendante, elle assume ce qu’elle est de féminin dans une unicité qui se conjugue au pluriel. Libre à celui qui veut y voir une quelconque pensée féministe ou une déclaration de guerre avec l’homme.


Elle se sait maintenant.


Elle sait pouvoir apporter au Monde. Elle sait que sa pierre portée à l’édifice du Monde n’est pas un fardeau mais bien de la Magie.


Cette magie qui opère quand règne harmonie et équilibre. C’est-à-dire lorsque chacun joue, en conscience, de sa partition ; la sienne et pas une autre. Pleinement, sans retenu, sans doute… Juste s’autoriser à jouer sa partition.


La foi qui anime la Femme-Sorcière est justement celle d’un monde plus harmonieux, où l’équilibre est au servie du « je » et du « nous ». Elle comprend qu’il ne peut y avoir d’épanouissement du « nous » sans celui du « je ». Elle apprend à sortir du sacrifice de la femme « poto mitan¹ » pour être la femme « fanm ki ka² ». Et éprouve alors le besoin d’exister par delà et aux côtés du masculin. Comme le soleil se contente de briller quand vient son heure.


Elle sait son plaisir important et l’explore dans sa sexualité qu’elle aspire à sacraliser.

C’est aussi la magie de son pouvoir de création, qu’elle expérimente progressivement, bien au-delà de la maternité. Elle s’accueille et observe ses émotions sans far ni fioriture. Écoute et suit son intuition sans se soucier de donner dos aux sentiers battus.


Elle s’autorise à être.


La Femme-Sorcière est connectée, à tout ce qu’elle est et à tout ce qui l’entoure, même ce qui demeure invisible.




La Femme-Sorcière célèbre la nature, son corps, la lune, sa puissance… sa liberté et son indépendance dans la bienveillance de soi et d’autrui.


La Femme-Sorcière s’ouvre ainsi à sa Divine Présence comme une offrande au Monde : à la nature, à l’univers… à tout ce qui existe.


Et puisque, ce qui nous réunit ici, sont les huiles essentielles, j’espère que vous avez profité du Bogo beauté. Yarrow Pom et le Salubelle sont des huiles qu’une Femme-Sorcière doit avoir dans son sac. Elles œuvrent toutes deux au réveil de la Sorcière et donc :


  • à l’harmonie et à l’équilibre tant émotionnel et qu’énergétique.

  • à la cicatrisation tant des blessures de la peau que celles qui nous collent à la peau.

  • à nous inciter à prendre notre envol spirituel.

Nous portons toute des mémoires et des blessures d’une vie où nos avons été pleinement sorcière (ou des mémoires et blessures héritées de notre lignée). Et qui nous a valu d’être : pourchassées, enviées, battues, brûlées… où nous nous sommes senties incomprises, seules, rejetées… Ces mémoires et blessures sont des obstacles à notre envol que ces huiles aident à lever.


Abracadabra, abracadabra, abracadabra

Que la Sorcière se réveille et prenne son envol !


¹ La poutre ou le mur qui supporte tout le poids de la construction.

² La femme qui œuvre avec son énergie pour elle d’abord et avant tout et dont la lumière de

fait rayonne sur les autres.


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Article rédigé par Michella Rosamont Psycho-énergéticienne et Thérapies quantiques.


Les informations présentées dans cet article sont uniquement à des fins éducatives et n'ont pas pour but de se substituer à un avis médical.


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